existence en Algérie du kyokushinkai karaté
La Continuité
En 1968, l’attention de l’organisation Kyokushinkai-kan mondiale est attirée, à la fois par le palmarès éloquent et les déclarations à la presse d’Alain Setrouk qui, peut satisfait du karaté traditionnel, le dit tout haut. Elle le contacte. Il travail plusieurs mois, d’abord avec Jon Bluming, un colosse de deux mètres qui, à l’époque, offrait 10.000 dollars à l’homme qui le battrait dans un combat au finish, en suite sous la direction personnelle de maître OYAMA. C’est ainsi qu’Alain Setrouk devient le représentant et le directeur technique pour la France du Kyokushinkai. La progression de ce style en France a été remarquable. Les qualificatifs de « sang nouveau » et « Karaté vérité » employés par presse souligne son impact.
Alain Setrouk a pratiqué a touché à différentes disciplines avant d’opter pour le Kyokushinkai Karaté, en 1968 il rencontre Jhon BLUMING puis OYAMA en personne lors d’un stage en HOLLANDE. Il fut champion du monde par équipe en 1972 à PARIS (championnat du monde W.U.K.O.).
Bachir BENACHOUR résident Algérien en France depuis 1970 a pratiqué
plusieurs styles avant de découvrir le Kyokushinkai Karaté en 1976. Il
rencontre Alain SETROUK le pionnier du Kyokushinkai Karaté en France et
travaille sous sa direction personnelle et participe à plusieurs coupes
de France Kyokushinkai Karaté et fut entraîneur de société de
protection.
Bachir BENACHOUR & Alain SETROUK
En 1995 Bachir BENACHOUR décide d’introduire cet art martial en ALGERIE
pour la première fois. Ce nouveau style fait ses débuts dans la wilaya
de Sidi Bel Abbés et plus précisément dans la commune de Redjem
Demouche. En 2014 cette nouvelle discipline a pris de l’ampleur, et est
pratiqué au niveau national
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